Les lois de l’étude de la thora

Description

Nous savons que chaque situation qui affecte la conduite d’une vie juive résulte d’un manquement dans l’acceptation du joug de notre sainte Thora.

Hélas, nous constatons que beaucoup de juifs, bien que pratiquants, n’ouvrent pendant de longues semaines, ni ‘Houmach, ni Guemara, ni Michnayot, ni Midrach, ni Choulhan Arouh ou autres livres saints.

Beaucoup parmi nos frères se nourrissent de la lecture de différents journaux emplis d’articles qui obstruent le cerveau et empêchent l’influence positive de notre Sainte Thora […].

Il est grand temps de proclamer que la Thora est l’héritage de tous, parents, grands-parents etc. Elle appartient à tous sans distinction […].

Comme le stipule le Rambam dans les lois de l’étude de la Thora (chapitre 1 hala’ha 8) :

« Chaque homme a l’obligation d’apprendre la Thora, qu’il soit pauvre ou riche, bien portant ou malade, jeune ou vieux etc.».

Aucun prétexte ou excuse n’est acceptable pour s’exclure de cette obligation, chaque jour.

Depuis que notre peuple existe et il n’y a pas si longtemps encore, une grande partie des nuits était consacrée à l’étude.

Chaque juif dans sa ville ou son village, après sa dure journée de labeur allait goûter, dans la maison d’étude, à un avant-goût du monde futur.